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07-01-2007 : Concert : Montricher-Albanne
Savoie : Montricher-Albanne : Les Karellis : Musique : Concerts : Office de tourisme : Remo : Concert
chanson
rock_celtico
07-01-2007 : Concert country : Morzine
Haute-Savoie : Morzine : Avoriaz : Musique : Concerts : Office de tourisme : Made in country : Concert country

07-01-2007 : Concert avec BANSHEE : Lauzerte
Tarn-et-Garonne : Lauzerte : Café Musical Le Puits de Jour : Musique : Concerts : Café Musical Le Puits de Jour : : Concert avec BANSHEE
rock_irlandais
08-01-2007 : Les Sea Girls : Paris
Paris : Paris : Le Divan Du Monde : Musique : Concerts : Le Divan Du Monde : Les Sea Girls : Les Sea Girls

10-01-2007 : de mes propres mains / solo | CREATION : Annecy
Haute-Savoie : Annecy : Bonlieu : Culturelles : Théatre : Bonlieu : : de mes propres mains / solo | CREATION

10-01-2007 : Meistersinger : Paris
Paris : Paris : Théâtre national de Chaillot : Culturelles : Théatre : Théâtre national de Chaillot : : Meistersinger
d’après Richard Wagner et Ernst Toller
Mise en scène Frank Castorf
Salle Jean Vilar
10 au 12 janvier 07
20h30 / spectacle en allemand surtitré en français
durée 2h30 sans entracte
THÉÂTRE MUSIQUE
d'après l'opéra de Richard Wagner Les Maîtres chanteurs de Nuremberg (1868) et la pièce révolutionnaire d'Ernst Toller Masse Mensch (1919)
Conception musicale Christoph Homberger, Christoph Keller, Stefan Wirth
Direction musicale Christoph Homberger, Christoph Keller
Arrangements Stefan Wirth
Scénographie, costumes Jonathan Meese
Lumière Torsten König
Dramaturgie Jutta Wangemann


Avec Christoph Homberger (ténor), Bernhard Schütz, Winfried Wagner, Max Hopp, Axel Wandtke, Silvia Rieger, Sophie Rois, Frank Bauszus (baryton), Anna Kratky (mezzo-soprano), Ruth Rosenfeld (soprano) et le pianiste David Marton / chef d'orchestre, piano Christoph Keller / musiciens Jan Czajkowski, Kim Witt, Sandrine Brammer, Eva Schraube, Istvan Szarka, Noa Niv

Avec le chœur du personnel de la Volksbühne

Production : Volksbühne am Rosa-Luxemburg-Platz / Théâtre National de Chaillot / Grand Théâtre de la Ville de Luxembourg / Det Kongelige Teater – Copenhague

En partenariat avec le Gœthe-Institut Paris dans le cadre de la présidence allemande du Conseil de l’UE en 2007

Wagner, révolutionnaire
Figure marquante de la scène internationale, le metteur en scène allemand Frank Castorf réduit la partition du monument wagnérien à cinq instruments à vent, deux pianos, un chœur d’une quinzaine de chanteurs et quatre solistes. En 1868, Richard Wagner achève la composition du seul de ses opéras où une légèreté joyeuse prévaut sur les violences guerrières. Malgré des compositions tournées vers une Allemagne traditionnelle et nostalgique, le livret des Maîtres chanteurs de Nuremberg vire au manifeste politique. L’opéra, summum de la schizophrénie identitaire de l’histoire germanique, oppose les progressistes et les conservateurs. Depuis l’église Sainte-Catherine d’un Nuremberg poussiéreux à la rusticité de la campagne avoisinante, les héros de Wagner y luttent pour l’art et pour l’amour, tiraillés entre leurs aspirations révolutionnaires et les convenances bourgeoises. Ces Maîtres chanteurs oscillent entre élan rebelle et confort moderne, évoluent aujourd’hui dans des espaces à mi-parcours entre le Moyen Âge, l’âge d’or de l’expressionnisme et la science-fiction.
Né et élevé dans l’Allemagne de l’Est des années 50, artiste à la fois adulé et censuré par le régime communiste, Frank Castorf s’est aussi nourri d’une culture occidentale et capitaliste. De la dualité entre Marx et les Rolling Stones, il tire à la tête de la Volksbühne de Berlin, qu’il dirige depuis la chute du mur, la matière d’un théâtre de fureur et de combat, viscéralement politique. Avec ses adaptations brutalement contemporaines des textes de Dostoïevski, Boulgakov, Tennessee Williams ou Jean-Paul Sartre (on a pu voir à Chaillot Dämonen, Humiliés et Offensés, Crime et Châtiment, Les Mains sales), Frank Castorf décrypte le terrain politique et culturel européen. Il construit le plus dérangeant et spectaculaire des théâtres du Peuple.
10-01-2007 : La Double Inconstance : Paris
Paris : Paris : Théâtre national de Chaillot : Culturelles : Théatre : Théâtre national de Chaillot : : La Double Inconstance
de Marivaux
Mise en scène Christian Colin
Salle Gémier
10 janvier au 3 février 07
20h30 / dimanche 15h / relâche lundi
THÉÂTRE
Scénographie Claude Plet, Christian Colin
Costumes Patrice Cauchetier
Lumière Jean-Pascal Pracht
Musique Mico Nissim
Images Jurg Hasler
Collaboration artistique François Regnault

avec
Isild Le Besco, Audrey Bonnet, Grégoire Colin, Jean-Jacques Le Vessier, Alexandre Pavloff, Laurent Sauvage
et Marie Favre, Julie Moreau, Frédéric Sonntag, Arnaud Stephan

Production : Théâtre National de Chaillot / Théâtre National de Bretagne – Rennes / La Compagnie Atelier 2 – Christian Colin

Dissection du cœur
Jeunes acteurs d’exception : Grégoire Colin et Isild Le Besco incarnent des personnages de Marivaux à la lisière du rêve et de la conscience, pris entre les douceurs du fantasme et les électrochocs de la lucidité. Suspendus, deux panneaux de toile blanche diffusent quelques images vidéo. Une terre rougeâtre borde un sol instable, incliné jusqu’à devenir impraticable, où les acteurs jouent et questionnent les sentiments de Silvia, d’Arlequin, du Prince et de Flaminia. Pour le metteur en scène Christian Colin, « il y a chez Marivaux de l’ordre de l’observation chirurgicale, de l’autopsie de l’amour, du langage amoureux, du langage social ». Directeur de la compagnie Atelier 2 depuis 1981, pédagogue, comédien pour le théâtre, le cinéma et la télévision, Christian Colin préfère ce Marivaux âpre, violent, cruel, ironique, à son « image d’Épinal : dramaturge spirituel, peintre d’une mondanité éprise de mots d’esprit ».En 1723, avec froideur, pessimisme et légèreté, Marivaux imagine les inconstances du cœur de Silvia, qu’un Prince épris fait enlever. Mais Silvia aime Arlequin, ou croit l’aimer. Arlequin, qui ne veut pas déplaire au Prince, se laisse séduire par Flaminia, tandis qu’un officier, en réalité le Prince travesti, finit par séduire Silvia. « Je vois clair dans mon cœur », dira Silvia, à l’issue des tendresses sentimentales transformées en passions amoureuses. La Double Inconstance éprouve la sincérité des sentiments, les plonge dans des chassés-croisés de mensonges et de vanités, d’orgueils blessés, d’identités malmenées par la raison sociale, les attraits du pouvoir ou la guerre des sexes. « Et si la question de l’amour est si centrale, dit Christian Colin, c’est qu’elle est un paradigme de cet endroit de l’équivoque, de l’ambiguïté où le rêve déborde sur la réalité de façon si dangereuse. »
10-01-2007 : Sauterelles : Lyon
Rhône : Lyon : THEATRE DE LA CROIX ROUSSE : Culturelles : Théatre : THEATRE DE LA CROIX ROUSSE : : Sauterelles
Biljana Srbljanovic a trente-cinq ans, comme les personnages principaux de sa dernière pièce, Sauterelles. Elle parle du Belgrade d’aujourd’hui, cette ville où elle est née, dresse le portrait de ses habitants avec sa langue virulente, pessimiste, « avec une minutie entomologique et un humour caustique ». Depuis les années quarante, aucune génération des Balkans n’a échappé à un conflit...
Le théâtre de la jeune auteure dénonce avec cruauté et ironie ce monde à bout de souffle, déraciné, condamné à subir sa propre médiocrité. L’exigence et le savoir-faire ludique de Dominique Pitoiset, directeur du Théâtre national de Bordeaux, viennent magnifiquement donner corps à cette voix, terrible mais essentielle.

Noir c'est noir...
« Comme autant d’épisodes d’un feuilleton, la pièce comporte dix-huit séquences, sans résolutions, chacune se terminant sur une sorte de faux suspense, repris dans la suivante... Ce qui donne à l’ensemble une manière d’insolence assez jouissive ». L’écriture de Biljana Srbljanovic ne peut laisser indifférent, ce qu’elle dessine encore moins... Son succès sur la scène théâtrale mondiale est sans précédent dans l’histoire de la littérature de son pays, la Serbie : ses six pièces ont inspiré quatre-vingt dix-sept créations en cinq ans. Elles s’inscrivent dans la mouvance de ce que l’on a - significativement - appelé le in-yer-face theatre, nouvelles écritures dramatiques émergeant à la fin des années 90, sous la plume d’une Sarah Kane ou d’un Marius von Mayenburg, et désireuses de réinjecter du politique dans le théâtre, de remettre le public « en face » de réalités, aussi pathétiques et noires soient-elles. Les personnages de Srbljanovic sont détestables, égoïstes, cyniques, drôles plus ou moins à leur insu... Dans ce microcosme inhumain, ils vivent dans la promiscuité, l’hypocrisie, l’impuissance. Un regard violent sur notre époque, cru, dérangeant, à accepter de recevoir en pleine figure pour mieux se relever. En rire oui, mais y penser longtemps après le tomber du rideau...
10-01-2007 : Mozart coté cours : Annemasse
Haute-Savoie : Annemasse : CHATEAU ROUGE : Musique : Concerts : CHATEAU ROUGE : : Mozart coté cours
Mozart, côté cours
Théâtre de l’Ombrelle

:: Théâtre d'ombres & musique
“Mis en images” par le Théâtre de l’Ombrelle, ce concert permet aux enfants de découvrir la musique de Mozart à travers son enfance.
Dans un décor évoquant un salon de musique, le petit Wolfgang n’a que trois ans lorsqu’il commence à improviser, pianotant sur la clavecin de sa soeur aînée Nannerl, à la recherche des “notes qui s’aiment”. Très doué, gai et frondeur, il traverse avec sa famille, de six à douze ans, de nombreuses cours d’Europe, cours impériales ou royales, découvrant à travers les langues, leurs sonorités, les harmonies propres à chacune, les différentes cultures européennes qui, plus tard, enrichiront son oeuvre.
“Mes petits enfants étonnent tout le monde” disait le père.

Ombres, figurines blanches, projection d’images inspirées de la peinture du XVIIIe siècle donnent vie aux personnages de ce concert-spectacle dont l’héroïne est la musique, interprétée en direct par Jérôme Clauzel au piano et Estelle Boin à la flûte traversière et au chant lyrique.

On découvre peu à peu le génie d’un personnage qui, entre goûters et jeux, invente une musique universelle, avec, pour les jeunes spectateurs, des points de repère musicaux et lyriques…
Télérama
Avec
Estelle Boin (chant, lyrique et flûte traversière)
Jérôme Clauzel (piano)
10-01-2007 : Carmen : Metz
Moselle : Metz : L ARSENAL DE METZ : Danse : Spectacles : L ARSENAL DE METZ : : Carmen

10-01-2007 : Pratique de Tango Argentin : Passy
Haute-Savoie : Passy : Select Bar Pmu : Danse : Pratique : Tango Duo : : Pratique de Tango Argentin

11-01-2007 : Sauterelles : Lyon
Rhône : Lyon : THEATRE DE LA CROIX ROUSSE : Culturelles : Théatre : THEATRE DE LA CROIX ROUSSE : : Sauterelles
Biljana Srbljanovic a trente-cinq ans, comme les personnages principaux de sa dernière pièce, Sauterelles. Elle parle du Belgrade d’aujourd’hui, cette ville où elle est née, dresse le portrait de ses habitants avec sa langue virulente, pessimiste, « avec une minutie entomologique et un humour caustique ». Depuis les années quarante, aucune génération des Balkans n’a échappé à un conflit...
Le théâtre de la jeune auteure dénonce avec cruauté et ironie ce monde à bout de souffle, déraciné, condamné à subir sa propre médiocrité. L’exigence et le savoir-faire ludique de Dominique Pitoiset, directeur du Théâtre national de Bordeaux, viennent magnifiquement donner corps à cette voix, terrible mais essentielle.

Noir c\'est noir...
« Comme autant d’épisodes d’un feuilleton, la pièce comporte dix-huit séquences, sans résolutions, chacune se terminant sur une sorte de faux suspense, repris dans la suivante... Ce qui donne à l’ensemble une manière d’insolence assez jouissive ». L’écriture de Biljana Srbljanovic ne peut laisser indifférent, ce qu’elle dessine encore moins... Son succès sur la scène théâtrale mondiale est sans précédent dans l’histoire de la littérature de son pays, la Serbie : ses six pièces ont inspiré quatre-vingt dix-sept créations en cinq ans. Elles s’inscrivent dans la mouvance de ce que l’on a - significativement - appelé le in-yer-face theatre, nouvelles écritures dramatiques émergeant à la fin des années 90, sous la plume d’une Sarah Kane ou d’un Marius von Mayenburg, et désireuses de réinjecter du politique dans le théâtre, de remettre le public « en face » de réalités, aussi pathétiques et noires soient-elles. Les personnages de Srbljanovic sont détestables, égoïstes, cyniques, drôles plus ou moins à leur insu... Dans ce microcosme inhumain, ils vivent dans la promiscuité, l’hypocrisie, l’impuissance. Un regard violent sur notre époque, cru, dérangeant, à accepter de recevoir en pleine figure pour mieux se relever. En rire oui, mais y penser longtemps après le tomber du rideau...
11-01-2007 : Abdel Rahman El Bacha, Régis Pasquier et Xavier Philipps : Annecy
Haute-Savoie : Annecy : Bonlieu : Musique : Concerts : Bonlieu : : Abdel Rahman El Bacha, Régis Pasquier et Xavier Philipps

11-01-2007 : André Minvielle : Annemasse
Haute-Savoie : Annemasse : CHATEAU ROUGE : Musique : Concerts : CHATEAU ROUGE : : André Minvielle
: Concert
Batteur, scatteur, rappeur, “rime-ailleurs”, André Minvielle bouscule les mots et les conventions. Venu de Gascogne il pratique, outre le chant gascon, un art nouveau nommé “vocalchimie”. Ce “batteur maigre” a été révélé au sein de la Compagnie Lubat. Ancien apprenti-horloger, il mélange tradition et modernité, vieux porte-voix et sampleurs.

Tout y passe : un traditionnel gascon, une béguine “gasconcubine”, un petit blues, en passant, un hommage aux chants pygmées… Ce grand pourfendeur de mots saisit l’air du temps avec un incomparable sens de la langue et de l’improvisation.

Compagnon d’aventure de Bernard Lubat, ayant joué avec Michel Portal, Eddy Louiss ou Claude Nougaro, André Minvielle part sans cesse à la rencontre des langues, des accents de France ou d’ailleurs pour mieux enrichir sa musique multi-culturelle.
12-01-2007 : Sauterelles : Lyon
Rhône : Lyon : THEATRE DE LA CROIX ROUSSE : Culturelles : Théatre : THEATRE DE LA CROIX ROUSSE : : Sauterelles
Biljana Srbljanovic a trente-cinq ans, comme les personnages principaux de sa dernière pièce, Sauterelles. Elle parle du Belgrade d’aujourd’hui, cette ville où elle est née, dresse le portrait de ses habitants avec sa langue virulente, pessimiste, « avec une minutie entomologique et un humour caustique ». Depuis les années quarante, aucune génération des Balkans n’a échappé à un conflit...
Le théâtre de la jeune auteure dénonce avec cruauté et ironie ce monde à bout de souffle, déraciné, condamné à subir sa propre médiocrité. L’exigence et le savoir-faire ludique de Dominique Pitoiset, directeur du Théâtre national de Bordeaux, viennent magnifiquement donner corps à cette voix, terrible mais essentielle.

Noir c\\\'est noir...
« Comme autant d’épisodes d’un feuilleton, la pièce comporte dix-huit séquences, sans résolutions, chacune se terminant sur une sorte de faux suspense, repris dans la suivante... Ce qui donne à l’ensemble une manière d’insolence assez jouissive ». L’écriture de Biljana Srbljanovic ne peut laisser indifférent, ce qu’elle dessine encore moins... Son succès sur la scène théâtrale mondiale est sans précédent dans l’histoire de la littérature de son pays, la Serbie : ses six pièces ont inspiré quatre-vingt dix-sept créations en cinq ans. Elles s’inscrivent dans la mouvance de ce que l’on a - significativement - appelé le in-yer-face theatre, nouvelles écritures dramatiques émergeant à la fin des années 90, sous la plume d’une Sarah Kane ou d’un Marius von Mayenburg, et désireuses de réinjecter du politique dans le théâtre, de remettre le public « en face » de réalités, aussi pathétiques et noires soient-elles. Les personnages de Srbljanovic sont détestables, égoïstes, cyniques, drôles plus ou moins à leur insu... Dans ce microcosme inhumain, ils vivent dans la promiscuité, l’hypocrisie, l’impuissance. Un regard violent sur notre époque, cru, dérangeant, à accepter de recevoir en pleine figure pour mieux se relever. En rire oui, mais y penser longtemps après le tomber du rideau...
12-01-2007 : Mango Gadzi : Annonay
Ardèche : Annonay : LA PRESQU ILE : Musique : Concerts : Office du Tourisme : : Mango Gadzi

12-01-2007 : Le chant des batailles : Metz
Moselle : Metz : L ARSENAL DE METZ : Musique : Concerts : L ARSENAL DE METZ : : Le chant des batailles

12-01-2007 : FABRICE SERVIER en CONCERT au NEw MorNing (ZOUk Zouk ZouK!!) : Paris
Paris : Paris : NEW MORNING : Musique : Concerts : aztec creon : : FABRICE SERVIER en CONCERT au NEw MorNing (ZOUk Zouk ZouK!!)
Fabrice Servier et le groupe MOUVANCE seront en concert le
12 JANVIER AU NEW MORNING à 21h pétantes !

NEW MORNING
7-9, Rue des Petites Ecuries 75010 Paris
M° Chateau d’eau


ventes de Billets / Fnac - Carrefour :
www.fnac.com - 0892 68 36 22 (0,34€/min.)
Réseau TICKETNET : VIRGIN MEGASTORE – AUCHAN –
E-LECLERC - GALERIES LAFAYETTE – CULTURA –
www.ticketnet.fr – 0 892 390 100 (0.34 € TTC/min)
12-01-2007 : The Arkitekts Serial Player Band : Paris
Paris : Paris : Bar de l'Eclipse : Musique : Concerts : Bar de l'Eclipse : The Arkitekts : The Arkitekts Serial Player Band

12-01-2007 : SOIREE ROCK'N ROLL A ORLEANS : St-Jean-le-Blanc
Loiret : Orléans : Salle MONTISSION : Danse : Soirées dansantes : Association FIVA : Fred : SOIREE ROCK'N ROLL A ORLEANS
Soirée ROCK'N ROLL à ORLEANS
le Vendredi 12 Janvier 2007, 22h à 3h du matin
Soirée dansante : 70% Rock'n Roll et swing, 30% danses de salon (cha-cha, salsa, zouk, tango, valse)
Prix : 10 Euros (vestiaire et parking surveillé gratuit, rafraichissements à volonté)
Salle Montission
Avenue Jacques Douffiagues
45650 St-Jean-le-Blanc
12-01-2007 : Fernand Payraud : Cluses
Haute-Savoie : Cluses : Maison des Allobroges : Foires/Expositions : Expositions : Allobroges Centre Culturel : : Fernand Payraud
Peintre français de renommée internationale, Fernand Payraud se classe dans le mouvement de l'Ecole Provençale par son style figuratif moderne. Et si le rêve transparaît dans ses oeuvres, la vibration émotionnelle de ses créations prouve la sincérité de cet artiste.
Il sillone la Provence et la montagne à la recherche de la lumière idéale qu'il transcrit exclusivement au couteau. doué de la précison du geste, unie à la franche spontanéité, il réalise une solide mise en matière de ses toiles.
Horaires d'ouverture de l'exposition :
Du lundi au vendredi : De 14h-19h
Et les lundis, mercredis et vendredis
De 9h à 12h
12-01-2007 : Casse-Noisette : Belley
Ain : Belley : L INTEGRAL : Danse : Spectacles : Office du Tourisme : : Casse-Noisette

13-01-2007 : Sauterelles : Lyon
Rhône : Lyon : THEATRE DE LA CROIX ROUSSE : Culturelles : Théatre : THEATRE DE LA CROIX ROUSSE : : Sauterelles
Biljana Srbljanovic a trente-cinq ans, comme les personnages principaux de sa dernière pièce, Sauterelles. Elle parle du Belgrade d’aujourd’hui, cette ville où elle est née, dresse le portrait de ses habitants avec sa langue virulente, pessimiste, « avec une minutie entomologique et un humour caustique ». Depuis les années quarante, aucune génération des Balkans n’a échappé à un conflit...
Le théâtre de la jeune auteure dénonce avec cruauté et ironie ce monde à bout de souffle, déraciné, condamné à subir sa propre médiocrité. L’exigence et le savoir-faire ludique de Dominique Pitoiset, directeur du Théâtre national de Bordeaux, viennent magnifiquement donner corps à cette voix, terrible mais essentielle.

Noir c\\\\\\\'est noir...
« Comme autant d’épisodes d’un feuilleton, la pièce comporte dix-huit séquences, sans résolutions, chacune se terminant sur une sorte de faux suspense, repris dans la suivante... Ce qui donne à l’ensemble une manière d’insolence assez jouissive ». L’écriture de Biljana Srbljanovic ne peut laisser indifférent, ce qu’elle dessine encore moins... Son succès sur la scène théâtrale mondiale est sans précédent dans l’histoire de la littérature de son pays, la Serbie : ses six pièces ont inspiré quatre-vingt dix-sept créations en cinq ans. Elles s’inscrivent dans la mouvance de ce que l’on a - significativement - appelé le in-yer-face theatre, nouvelles écritures dramatiques émergeant à la fin des années 90, sous la plume d’une Sarah Kane ou d’un Marius von Mayenburg, et désireuses de réinjecter du politique dans le théâtre, de remettre le public « en face » de réalités, aussi pathétiques et noires soient-elles. Les personnages de Srbljanovic sont détestables, égoïstes, cyniques, drôles plus ou moins à leur insu... Dans ce microcosme inhumain, ils vivent dans la promiscuité, l’hypocrisie, l’impuissance. Un regard violent sur notre époque, cru, dérangeant, à accepter de recevoir en pleine figure pour mieux se relever. En rire oui, mais y penser longtemps après le tomber du rideau...
13-01-2007 : Forum ENSEA : Cergy
Val-d'Oise : Cergy : Ensea : Culturelles : Conférences : AIENSEA : : Forum ENSEA
Destiné à faire découvrir aux étudiants de l’École - ainsi qu’aux toutes dernières promotions - les multiples facettes du métier d’ingénieur, le dernier Forum AIEnsea s’est tenu en janvier 2006, à Cergy-Pontoise. Prochaine édition : samedi 13 janvier 2007 (après-midi).

(JPG) Comme chaque année, cette manifestation gratuite était articulée autour d’une table-ronde d’ouverture sur un thème touchant à l’exercice du métier d’ingénieur, puis de rencontres informelles avec des Ensearques.
Thème 2006 : "La mobilité de l’ingénieur, tant à l’intérieur de l’entreprise qu’à l’international", avec le témoignage de :
- Jean-Luc Aschard, directeur marketing à la division professionnels, EDF
- Geoffroy Carbillet, ingénieur amélioration production, Freudenberg.
13-01-2007 : Christophe Alévêque : Bourg-lès-Valence
Drôme : Bourg-lès-Valence : THEATRE LE RHONE : Culturelles : Humour : Mairie : : Christophe Alévêque

15-01-2007 : Les Sea Girls : Paris
Paris : Paris : Le Divan Du Monde : Musique : Concerts : Le Divan Du Monde : Les Sea Girls : Les Sea Girls

15-01-2007 : Finale : Paris
Paris : Paris : Le Réservoir : Musique : Concerts : Le Réservoir : : Finale
Tremplin Génération Réservoir

Finale

lundi 15 janvier à 20h30

avec Clint, Gordon Sanchez, Mayane, MuntuValdo,

Nahema, Nicolas Fraissinet, Sandra Nkake .

TREMPLIN DU RESERVOIR 2006 Déja sélectionnés: Mayanne, Gordon Sanchez et Nicolas Fraissinet (Chanson Française) - Sandra N'Kake et Muntu Valdo (World). Selection Pop Rock, résultats le 4 décembre. http://www.wat.tv/reservoir Enfin un tremplin ou les artistes d’influences musicales différentes se sont exprimés librement et sur une scène parisienne ! Les présélections se sont déroulées tout l’été du 11 Juillet au 30 Août. Ouvert aux artistes autoproduits ou signés en publishing. Mary de Vivo et Laure Virazels ont décidé de mettre en avant, sur la scène du Réservoir, des artistes autoproduits ou signés en édition afin de les promouvoir et de leur donner un peu plus de visibilité. 4 catégories : Pop Rock / RnB soul / World Music / Chanson Française -Présélections sur écoute en Juin -Qualifications sur scène au Réservoir en Juillet / Août Demi Finales: 16 octobre: RnB, Soul, World Music 6 novembre: Chanson Française, 4 décembre: Pop Rock. Finale: Le 15 janvier 2007. Jury : Nicolas Galibert ( Sony atv ), Cocto ( Music media consulting ), Laurent Marimbert ( Réal Artistique ), Eric Madelon ( RTL 2 ),Mary de Vivo ( Réservoir ), Laure Virazels ( Manager ) et Carmen Bouchet (Manager productrice )
16-01-2007 : Elf la pompe afrique : Annemasse
Haute-Savoie : Annemasse : CHATEAU ROUGE : Culturelles : Théatre : CHATEAU ROUGE : : Elf la pompe afrique
Elf, la pompe Afrique
De/par Nicolas Lambert - Compagnie Un pas de Côté

:: Théâtre
Pourquoi Nicolas Lambert a suivi de bout en bout les quatre mois qu’a duré le procès de l’affaire Elf ? Sans doute parce que, venant du théâtre universitaire puis s’engageant dans un théâtre de l’action en banlieue parisienne, hors des scènes traditionnelles, loin des institutions, il a simplement pris l’habitude de regarder.
Entre le théâtre et la justice, il y a des accointances : il y a une scène, une estrade, des gens qui arrivent, des audiences qui ressemblent étonnamment à des scènes, remarque-t-il. Et, nous assistons à une pièce cruelle et drôle, dont chaque texte, chaque dialogue sont authentiques, aux acteurs tour à tour truculents, roublards, arrogants ou pitoyables, la justice jouant à soulever la vérité à travers les mensonges énormes ou grotesques et le silence assourdissant des sous-entendus de la république.
Seul en scène, Nicolas Lambert interprète chacun des protagonistes, Loïk Le Floch- Prigent, Alfred Stirven, André Tarallo, Dédé la sardine ou le Président du Tribunal… et nous rend compréhensible un procès tentaculaire qui n’a malheureusement rien d’une fiction.

Théâtre documentaire, théâtre citoyen ? Nicolas Lambert s’interroge : On a dit de cette affaire qu’elle pouvait faire sauter vingt fois la république. La Ve République n’a pas sauté, ni vingt fois, ni deux, ni une. Mais sa santé m’inquiète.

Accompagné par
Hélène Billard
& Seydina Insa Wade
16-01-2007 : Sophie Delila : Paris
Paris : Paris : L'Européen : Musique : Concerts : L'Européen : Sophie Delila : Sophie Delila

16-01-2007 : HOMMAGE A MICHEL PETRUCCIANI Lombards : Paris
Paris : Paris : Duc des Lombards : Musique : Concerts : Duc des Lombards : : HOMMAGE A MICHEL PETRUCCIANI Lombards
Ludovic de PREISSAC (p) « Brazilian Mood » Quartet

Francesco BEARZATTI (ts, ss), Kevin REVEYRAND (eb), Francis ARNAUD (dms)

Avant même cet intérêt général et naturel pour le patrimoine musical laissé par Michel Petrucciani, Ludovic de Preissac s'est passionné pour la musique de son frère de clavier. Comment résister à cette vision positive, joyeuse, colorée, dynamique de sa musique ? Avec habileté et talent, Ludovic éclaire de ses arrangements de nouveaux angles d'écoute. Il réveille comme il révèle en nous des envies de nous pencher à nouveau sur le compositeur Petrucciani qu'il traite aujourd'hui comme un compositeur de standards, en toute simplicité.
16-01-2007 : HOMMAGE A MICHEL PETRUCCIANI Baiser : Paris
Paris : Paris : Au Baiser Salé Jazz Club : Musique : Concerts : Au Baiser Salé Jazz Club : Emmanuel Bex : HOMMAGE A MICHEL PETRUCCIANI Baiser
Emmanuel BEX (hammond) – Alain JEAN-MARIE (p)

Dans sa jeunesse, Michel Petrucciani jouait de l'orgue dans les bars en
accompagnant son père guitariste, le succès venu, en contrat chez Dreyfus,
un disque a vu le jour, qui le reliait directement à son passé : "Conférence
de Presse" album enregistré au Petit Journal en duo avec Eddy Louiss, une
des idoles du Petrucciani organiste. C'est à cette période de la carrière du
pianiste que nous avons demandé à Alain Jean-Marie et Emmanuel Bex de
s'attacher... Hammond et Piano, Bex et Jean-Marie, Eddy et Michel.
16-01-2007 : HOMMAGE A MICHEL PETRUCCIANI Sunside : PARIS 01
Paris : Paris : Sunside : Musique : Concerts : Sunside : Franck AVITABILE Trio : HOMMAGE A MICHEL PETRUCCIANI Sunside
Franck AVITABILE Trio featuring Aldo ROMANO

Aldo ROMANO (dms), Diego IMBERT (cbs), Franck AVITABILE (p)

Quoi de mieux pour cet hommage que d'inviter Franck Avitabile, considéré par Michel lui-même comme son digne successeur, et Aldo Romano qui l'a accompagné pendant près de dix ans - période OWL records...? Un must.
16-01-2007 : HOMMAGE A MICHEL PETRUCCIANI Sunset : PARIS 01
Paris : Paris : Sunset : Musique : Concerts : Sunset : : HOMMAGE A MICHEL PETRUCCIANI Sunset
Diffusion du film « Lettre à Michel PETRUCCIANI »

de Franck Cassenti

Tourné en 1983 – Durée : 45 mn

Frank Cassenti, musicien-cinéaste, tente par ses propres jeux de caméra de saisir ceux d'un des pianistes les plus doués des années quatre vingt. Ce film est l'un des premiers consacrés au pianiste qui trouva prématurément la mort en 1999. Le portrait s'achève à l'aéroport d'Orly avec le départ de Petrucciani pour les Etas-Unis ...Un portrait chaleureux et intimiste.
16-01-2007 : Matri(k)is | CREATION : Annecy
Haute-Savoie : Annecy : Bonlieu : Danse : Spectacles : Bonlieu : : Matri(k)is | CREATION

16-01-2007 : Vis à vies : Portes-lès-Valence
Drôme : Portes-lès-Valence : LE TRAIN THEATRE : Danse : Spectacles : Mairie : : Vis à vies

17-01-2007 : On ne badine pas avec l’amour : Lyon
Rhône : Lyon : THEATRE DE LA CROIX ROUSSE : Culturelles : Théatre : THEATRE DE LA CROIX ROUSSE : : On ne badine pas avec l’amour
Perdican, Camille, Rosette. On sait bien que le véritable amour ne connaît pas le chiffre trois... Le baron pensait pourtant maîtriser un heureux mariage en faisant coïncider le retour de son fils diplômé avec celui de sa cousine Camille : les deux anciens enfants, anciens amoureux, feraient aujourd’hui de parfaits jeunes amants. Mais Camille ne jure que par le couvent, piquant l’ego de son prétendant. Rosette devient alors ce ridicule objet dans la quête de séduction de l’orgueilleux Perdican. « La seule excuse des assassins, c’est leur jeunesse », souffle Philippe Faure...

Il ne faut jurer de rien...
On ne badine pas avec l’amour, « une tragédie, en somme, qui ne dit pas son nom, mais où l’amour est réellement saccagé »... Après Marivaux et son art ludique du discours amoureux, Philippe Faure se penche sur Musset, l’amoureux malheureux de George Sand, l’enfant du siècle : « Musset confondit toute sa vie le rêve et la réalité. Hyperémotif, il fut " très impressionnable ”. Est-ce pour cela qu’il fit le serment de vivre et de mourir d’amour ? ». Ses héros insouciants, trio faussement innocent, connaissent ce revers fatal de leur désir, de leur liberté, de leurs élans. Dans un pré vert, tendre, offert aux étreintes comme aux jeux (dangereux), ils sont vêtus de noir, se détachent, s’affirment, s’impriment violemment sur la douceur végétale. Dans ce mélange pictural, comme d’un négatif, se révèlent le drame et l’effroi. Il n’y a pas vraiment d’issue à l’amour, si ce n’est sa propre fin, toujours douloureuse. Quand celle-ci prend le visage de la tragédie, elle hante et condamne. Jeu de stratégie et de mise à mort bouleversant, âpre et prenant, sur un échiquier de verdure...
17-01-2007 : Hiroaki Umeda Solo : Paris
Paris : Paris : Théâtre national de Chaillot : Danse : Spectacles : Théâtre national de Chaillot : : Hiroaki Umeda Solo
Chorégraphie, interprétation Hiroaki Umeda
Studio
17 au 27 janvier 07
20h30 / dimanche 15h / relâche lundi
DANSE
Accumulated layout (création)
While going to a condition (2003)

Production : Théâtre National de Chaillot / S20
Avec le soutien de la chaufferie à Saint-Denis

Solo multiple
Hiroaki Umeda ne se prédestinait pas à la danse : à l’origine, il étudie la photographie, préférant donc l’instant saisi plutôt que le mouvement lâché ! Mais, tout en suivant les cours de photographie à la Nihon University à Tokyo, ce jeune Japonais s’initie à la danse classique et au hip hop. Il a le choc de sa vie devant la création de Absolute Zero, solo dansé de Saburo Teshigawara.
Dès lors, Umeda « san » se met à fréquenter régulièrement les ateliers chorégraphiques de Karas, la compagnie de Teshigawara et se tourne résolument vers la danse. Autant dire que ce danseur devenu chorégraphe a développé au fil des années une gestuelle singulière qui emprunte autant aux danses urbaines qu’au post-butô, la danse des ténèbres née de l’après-Hiroshima.
Depuis la fondation de S20, sa compagnie, en 2000, Hiroaki Umeda a acquis une dimension internationale. Performer recherché, doublé d’un talent pour la musique, la vidéo et le travail sur la lumière, véritable homme orchestre de son propre corps, Umeda a depuis ses débuts signé plusieurs pièces : Looming, While going to a condition, Finore ou Duo. Autant de révélations – et de solos – qui le conduisent de Rio de Janeiro à Montevideo en passant par New York ou Milan.
On relève chez ce Japonais une fluidité dans l’acte même de danser, électrisé de spasmes chorégraphiques, véritables décharges d’énergie vitale. Un peu comme une onde qui partirait des pieds du danseur pour gagner en amplitude le reste de son corps. « Je crée une pièce à partir d’un espace vide, puis une image naît et se développe. La danse prend alors peu à peu forme, ainsi que le son et l’image de façon simultanée », admet Umeda.
Présentée avec While going to a condition, la nouvelle création Accumulated layout, solo à la frontière de la danse et des arts visuels, devrait trouver son écrin dans le cadre resserré du Studio de Chaillot, un lieu propice à toutes les expérimentations.

Ph N
17-01-2007 : Pratique de Tango Argentin : Passy
Haute-Savoie : Passy : Select Bar Pmu : Danse : Pratique : Tango Duo : : Pratique de Tango Argentin

18-01-2007 : On ne badine pas avec l’amour : Lyon
Rhône : Lyon : THEATRE DE LA CROIX ROUSSE : Culturelles : Théatre : THEATRE DE LA CROIX ROUSSE : : On ne badine pas avec l’amour
Perdican, Camille, Rosette. On sait bien que le véritable amour ne connaît pas le chiffre trois... Le baron pensait pourtant maîtriser un heureux mariage en faisant coïncider le retour de son fils diplômé avec celui de sa cousine Camille : les deux anciens enfants, anciens amoureux, feraient aujourd’hui de parfaits jeunes amants. Mais Camille ne jure que par le couvent, piquant l’ego de son prétendant. Rosette devient alors ce ridicule objet dans la quête de séduction de l’orgueilleux Perdican. « La seule excuse des assassins, c’est leur jeunesse », souffle Philippe Faure...

Il ne faut jurer de rien...
On ne badine pas avec l’amour, « une tragédie, en somme, qui ne dit pas son nom, mais où l’amour est réellement saccagé »... Après Marivaux et son art ludique du discours amoureux, Philippe Faure se penche sur Musset, l’amoureux malheureux de George Sand, l’enfant du siècle : « Musset confondit toute sa vie le rêve et la réalité. Hyperémotif, il fut \
18-01-2007 : Enrico rava quintet : Metz
Moselle : Metz : L ARSENAL DE METZ : Musique : Concerts : L ARSENAL DE METZ : : Enrico rava quintet

18-01-2007 : Thé dansant avec Jacky Guilloux : EVIRES
Haute-Savoie : Évires : La guinguette des artistes : Danse : Thés dansants : La Guinguette des Artistes : : Thé dansant avec Jacky Guilloux

18-01-2007 : Corazón Loco : Paris
Paris : Paris : Théâtre national de Chaillot : Danse : Spectacles : Théâtre national de Chaillot : : Corazón Loco
Chorégraphie, mise en scène Blanca Li
Salle Jean Vilar
18 au 28 janvier 07
20h30 / dimanche 15h / relâche lundi
DANSE
Musique originale Édith Canat de Chizy
Lumière Jacques Châtelet
Décor Pierre Attrait
Vidéo Charles Carcopino assisté de Julien Nesme
Costumes Laurent Mercier

Avec
les danseurs Gérald Dorseuil, Sylvain Groud, Matthew Hawkins, Laurence Levasseur, Blanca Li, Deborah Torres
les chanteurs de l’ensemble vocal Sequenza 9.3 dirigé par Catherine Simonpietri : Claudine Margely, Virginie Lefebvre, Thi Lien Truong, Donatienne Milpied, Philippe Froeliger, Etienne Vandier, Christophe Sam, Christophe Grapperon

Percussionniste, Béatrice Répécaud

Production : Théâtre National de Chaillot / Compagnie Blanca Li / Ensemble vocal Sequenza 9.3 / Odyssud-Scène Nationale de Blagnac / Maison de la Musique de Nanterre / Opéra de Massy / Théâtre 71 Malakoff / Studio de la MAC Créteil

Blanca Li, atout cœur
Regardant dans son rétroviseur, Blanca Li, fougueuse Espagnole de Grenade, peut y voir ses débuts à New York, où elle fréquenta les cours de Martha Graham, son retour en pleine période movida avec groupe rock à la clé, ou mieux ce premier opus, Nana et Lila, en 1993, qui la révèle en Europe. Blanca Li, au culot et sans aide, osa alors ce mélange de danse contemporaine et de musique arabe. Une dizaine de spectacles plus tard, la danseuse flamenco à ses heures perdues essaie le one woman show déjanté, l’hommage au cirque, Salomé, un clin d’œil au hip hop, Macadam, une ode à l’Andalousie aussi, Al Andalus. En plus d’un long métrage, Le Défi, et en attendant le suivant, Cabaret Latino, Blanca Li revient à ses premiers émois, la danse.
Corazón Loco permet à Blanca Li de renouer aussi avec le monde du chant, après ses débuts chorégraphiques à l’Opéra de Paris. « Je voudrais pour cette création que le travail sur le corps et la voix ne fasse qu’un. Réunissant danseurs et chanteurs, nous explorerons réciproquement les univers de chacun », dit la belle Li. S’inspirant du thème universel de l’amour, « source inépuisable de beauté, sensualité et fantaisie », la chorégraphe a rallié sur scène une équipe de huit danseurs, huit chanteurs, l’ensemble vocal Sequenza 9.3 sous la direction de Catherine Simonpietri, et un percussionniste. Quant à la partition originale d’Édith Canat de Chizy, compositrice en vue, Blanca Li la voit comme « un chant choral d’amour, riche de poésie et d’humour ». Et nous promet sur le plateau de l’or un peu partout : la scénographie de Pierre Attrait part de l’idée d’anamorphose avec des parois textiles qui cachent autant qu’elles découvrent. « Un décor sensuel donnant la part belle au corps. » En dire plus serait provocation : Blanca Li n’est jamais vraiment là où on l’attend. Une fois de plus, elle entraîne son public au-delà des songes et du mouvement. On ne peut rêver meilleur(e) guide.
19-01-2007 : On ne badine pas avec l’amour : Lyon
Rhône : Lyon : THEATRE DE LA CROIX ROUSSE : Culturelles : Théatre : THEATRE DE LA CROIX ROUSSE : : On ne badine pas avec l’amour
Perdican, Camille, Rosette. On sait bien que le véritable amour ne connaît pas le chiffre trois... Le baron pensait pourtant maîtriser un heureux mariage en faisant coïncider le retour de son fils diplômé avec celui de sa cousine Camille : les deux anciens enfants, anciens amoureux, feraient aujourd’hui de parfaits jeunes amants. Mais Camille ne jure que par le couvent, piquant l’ego de son prétendant. Rosette devient alors ce ridicule objet dans la quête de séduction de l’orgueilleux Perdican. « La seule excuse des assassins, c’est leur jeunesse », souffle Philippe Faure...

Il ne faut jurer de rien...
On ne badine pas avec l’amour, « une tragédie, en somme, qui ne dit pas son nom, mais où l’amour est réellement saccagé »... Après Marivaux et son art ludique du discours amoureux, Philippe Faure se penche sur Musset, l’amoureux malheureux de George Sand, l’enfant du siècle : « Musset confondit toute sa vie le rêve et la réalité. Hyperémotif, il fut \\
19-01-2007 : Le Journal d'une femme de chambre : Briare
Loiret : Briare : THEATRE DE L ESCABEAU : Culturelles : Théatre : Office de tourisme : : Le Journal d'une femme de chambre

19-01-2007 : Isabelle Olivier : Annonay
Ardèche : Annonay : LA PRESQU ILE : Musique : Concerts : Office du Tourisme : : Isabelle Olivier

19-01-2007 : La framboise frivole : Cluses
Haute-Savoie : Cluses : Maison des Allobroges : Musique : Concerts : Allobroges Centre Culturel : : La framboise frivole
Sous l’intitulé sucré «La Framboise Frivole» se cachent deux musiciens virtuoses à l’humour ravageur.
Dans leur nouveau spectacle «Pomposo», mêlant avec toujours autant de virtuosité théâtre, musique et humour, les duettistes de «La Framboise Frivole» proposent de redécouvrir les grandes oeuvres symphoniques et lyriques à travers leurs origines populaires.
Peter Hens, ténor à couper le souffle, nous chante les grands thèmes éternels et nous enchante par la malice de ses interprétations. Bart Van Caenegem, pianiste déconcertant, est prêt à tout pour l’accompagner jusqu’au bout de cette fresque « barococo ».
Mais dans cet univers absurde et décalé où tout peut arriver, le duo prend un malin plaisir à dynamiter un répertoire aussi vaste que son talent.
19-01-2007 : The Arkitekts Serial Player Band : PARIS 10
Paris : Paris : Palais Bar : Musique : Concerts : Palais Bar : The Arkitekts : The Arkitekts Serial Player Band

20-01-2007 : On ne badine pas avec l’amour : Lyon
Rhône : Lyon : THEATRE DE LA CROIX ROUSSE : Culturelles : Théatre : THEATRE DE LA CROIX ROUSSE : : On ne badine pas avec l’amour
Perdican, Camille, Rosette. On sait bien que le véritable amour ne connaît pas le chiffre trois... Le baron pensait pourtant maîtriser un heureux mariage en faisant coïncider le retour de son fils diplômé avec celui de sa cousine Camille : les deux anciens enfants, anciens amoureux, feraient aujourd’hui de parfaits jeunes amants. Mais Camille ne jure que par le couvent, piquant l’ego de son prétendant. Rosette devient alors ce ridicule objet dans la quête de séduction de l’orgueilleux Perdican. « La seule excuse des assassins, c’est leur jeunesse », souffle Philippe Faure...

Il ne faut jurer de rien...
On ne badine pas avec l’amour, « une tragédie, en somme, qui ne dit pas son nom, mais où l’amour est réellement saccagé »... Après Marivaux et son art ludique du discours amoureux, Philippe Faure se penche sur Musset, l’amoureux malheureux de George Sand, l’enfant du siècle : « Musset confondit toute sa vie le rêve et la réalité. Hyperémotif, il fut \\\\
20-01-2007 : Al ayre espagnol : Metz
Moselle : Metz : L ARSENAL DE METZ : Musique : Concerts : L ARSENAL DE METZ : : Al ayre espagnol

20-01-2007 : Soirée rétro-musette avec Flash Dance : EVIRES
Haute-Savoie : Évires : La guinguette des artistes : Danse : Soirées dansantes : La Guinguette des Artistes : FlashDance : Soirée rétro-musette avec Flash Dance

20-01-2007 : Stage de Tango Argentin : Lyon
Rhône : Lyon : MJC Laennec Salle Genton : Danse : Stages : Just Groove It : Guy Marrec : Stage de Tango Argentin

20-01-2007 : Stage de Tango Argentin : SAINT MAUR DES FOSSES
Val-de-Marne : Saint-Maur-des-Fossés : CENTRE DE DANSE ERIC SOURDEAU : Danse : Stages : Ten danse : Flabio Aguilera : Stage de Tango Argentin

20-01-2007 : Milonga : Lyon
Rhône : Lyon : Myosotis Tango Lyon : Danse : Stages : Just Groove It : Guy Marrec : Milonga

21-01-2007 : Parfum et Suspicions : Tournon-sur-Rhône
Ardèche : Tournon-sur-Rhône : GRANDE SALLE DU CINE-THEATRE : Culturelles : Théatre : Office de Tourisme : : Parfum et Suspicions

21-01-2007 : On ne badine pas avec l’amour : Lyon
Rhône : Lyon : THEATRE DE LA CROIX ROUSSE : Culturelles : Théatre : THEATRE DE LA CROIX ROUSSE : : On ne badine pas avec l’amour
Perdican, Camille, Rosette. On sait bien que le véritable amour ne connaît pas le chiffre trois... Le baron pensait pourtant maîtriser un heureux mariage en faisant coïncider le retour de son fils diplômé avec celui de sa cousine Camille : les deux anciens enfants, anciens amoureux, feraient aujourd’hui de parfaits jeunes amants. Mais Camille ne jure que par le couvent, piquant l’ego de son prétendant. Rosette devient alors ce ridicule objet dans la quête de séduction de l’orgueilleux Perdican. « La seule excuse des assassins, c’est leur jeunesse », souffle Philippe Faure...

Il ne faut jurer de rien...
On ne badine pas avec l’amour, « une tragédie, en somme, qui ne dit pas son nom, mais où l’amour est réellement saccagé »... Après Marivaux et son art ludique du discours amoureux, Philippe Faure se penche sur Musset, l’amoureux malheureux de George Sand, l’enfant du siècle : « Musset confondit toute sa vie le rêve et la réalité. Hyperémotif, il fut \\\\\\\\
21-01-2007 : Enrico Macias : Belley
Ain : Belley : L INTEGRAL : Musique : Concerts : Office du Tourisme : : Enrico Macias

21-01-2007 : Thé dansant avec Succes Musette : EVIRES
Haute-Savoie : Évires : La guinguette des artistes : Danse : Thés dansants : La Guinguette des Artistes : : Thé dansant avec Succes Musette

21-01-2007 : L'Olive et l'Huile en fête : Buis-les-Baronnies
Drôme : Buis-les-Baronnies : Place des Arcades : Populaires/Traditionnelles : Fêtes au village : Office de tourisme : : L'Olive et l'Huile en fête
A la découverte de l'huile nouvelle en Appellation d'Origine Contrôlée de Nyons.
Toute la journée, Marché des producteurs huile et olives AOC de Nyons et produits du terroir, messe de bénédiction de l'huile nouvelle à 10h30, Alicoque (dégustation de l'huile sur des croûtons) à partir de 11h30, Concours de pétanque et de craché de noyau à 14h, Atelier "préparation de vos tapenades" à 14h30. Nombreuses animations : démonstartion de matériels, vidéo sur la fabrication de l'huile sur un moulin traditionnel, vistes d'un moulin, de la maison des plantes, d'une distillerie, exposition de photos, bar à tisanes, promenade en calèche, tombola...
Une journée sous le signe du plaisir de la dégustaion...
A découvrir absolument !
22-01-2007 : Les Sea Girls : Paris
Paris : Paris : Le Divan Du Monde : Musique : Concerts : Le Divan Du Monde : Les Sea Girls : Les Sea Girls

23-01-2007 : Théâtre des Opérations : Annecy
Haute-Savoie : Annecy : Bonlieu : Culturelles : Théatre : Bonlieu : : Théâtre des Opérations

23-01-2007 : On ne badine pas avec l’amour : Lyon
Rhône : Lyon : THEATRE DE LA CROIX ROUSSE : Culturelles : Théatre : THEATRE DE LA CROIX ROUSSE : : On ne badine pas avec l’amour
Perdican, Camille, Rosette. On sait bien que le véritable amour ne connaît pas le chiffre trois... Le baron pensait pourtant maîtriser un heureux mariage en faisant coïncider le retour de son fils diplômé avec celui de sa cousine Camille : les deux anciens enfants, anciens amoureux, feraient aujourd’hui de parfaits jeunes amants. Mais Camille ne jure que par le couvent, piquant l’ego de son prétendant. Rosette devient alors ce ridicule objet dans la quête de séduction de l’orgueilleux Perdican. « La seule excuse des assassins, c’est leur jeunesse », souffle Philippe Faure...

Il ne faut jurer de rien...
On ne badine pas avec l’amour, « une tragédie, en somme, qui ne dit pas son nom, mais où l’amour est réellement saccagé »... Après Marivaux et son art ludique du discours amoureux, Philippe Faure se penche sur Musset, l’amoureux malheureux de George Sand, l’enfant du siècle : « Musset confondit toute sa vie le rêve et la réalité. Hyperémotif, il fut \\\\\\\\
23-01-2007 : Bérénice : Lyon
Rhône : Lyon : THEATRE DE LA CROIX ROUSSE : Culturelles : Théatre : THEATRE DE LA CROIX ROUSSE : : Bérénice
Un « one man show racinien »... y a de quoi rester bluffé. Qui serait assez fou pour tenter de tenir, à lui seul, tous les personnages d’une des tragédies les plus jouées de Jean Racine ? Jean-Marc Avocat, himself. Pari culotté, performance de comédien indéniable, pour nous dire toute sa passion pour cette langue et nous communiquer, à travers ces histoires là, un enthousiasme nouveau pour l’alexandrin ou, plus improbable, pour notre voisin de droite. Ah, l’amour...

Les histoires d’A. finissent (toujours) mal
À écouter Jean-Marc Avocat, fort de ses quarante ans de carrière - sur les planches comme à la télévision ou au cinéma - on se dit que la langue de Racine doit adoucir les moeurs. Le comédien-metteur en scène affirme utiliser ce « sommet de la langue française » presque comme un antidépresseur... Et c’est vrai qu’il y a de la magie dans ces vers, dans ce rythme implacable, dans ces destinées qui n’ont de cesse de tendre vers leur inéluctable fin. Bérénice, quinze-cent-six vers (tout rond), jouée en 1670, tragédie à trois voix : celle de Bérénice, reine de Palestine, sommée de retourner chez elle par l’homme qu’elle aime, Titus ; celle de Titus, empereur de Rome, qui sacrifie son amour aux exigences de la raison d’État ; celle d’Antiochus, ami de Titus, amoureux secret de Bérénice et condamné par elle au silence sous peine d’en être haï. Une poésie comme une plainte, à savourer cette fois dans l’homogénéité, la cohérence, d’une seule voix ? Celle d’un homme capable d’en rendre aussi tous les enjeux dramatiques ? Et pourquoi pas...
23-01-2007 : Waxtaan : Annemasse
Haute-Savoie : Annemasse : CHATEAU ROUGE : Danse : Spectacles : CHATEAU ROUGE : : Waxtaan
Waxtaan
Chorégraphie de Germaine et Patrick Acogny - Cie Jant-Bi (Sénégal)

:: Danse
Première mondiale

Waxtaan (prononcer Ouartann), c’est la palabre, la parole souvent vaine et notamment celle des hommes politiques. Waxtaan, c’est un regard critique sur un sommet de chefs d’Etats, un G8 africain où la parole serait remplacée par le corps et la danse. Ces danses, portées par les huit interprètes de la Compagnie, proviennent de tous les pays d’Afrique où elles ont été collectées puis apprises et réappropriées à la lueur de la modernité au sein de l’Ecole des sables.

Tradition/Innovation sont les maîtres mots de Germaine Acogny, pionnière et mère reconnue et respectée de la Danse africaine contemporaine. Collaboratrice de Maurice Béjart, elle fut la Directrice de son Ecole Mudra Afrique (1977-1983). Quinze ans après sa fermeture, à force de ténacité, elle ouvre à Tabab Dialaw, près de Dakar, l’Ecole des sables. Elle y accueille des danseurs de tous les pays et développe sa propre technique de Danse, se passionnant pour l’enseignement et la transmission de la culture et des valeurs de l’Afrique par la Danse.

La Compagnie Jant-Bi est l’enfant de l’Ecole des sables et travaille sur un retour aux sources, vers les racines, les danses d’hier qui sont en réalité les danses d’aujourd’hui.

De la même manière, la création musicale est basée sur les rythmes traditionnels liés aux danses des différents pays choisis pour cette création.

Avec
Babacar Ba
Ciré Beye
André Drame
Abdoulaye Kane
Ousmane N’Daye
Pape Ibrahima N’daye
Bertarnd Tchébé Saky
Abib So
24-01-2007 : On ne badine pas avec l’amour : Lyon
Rhône : Lyon : THEATRE DE LA CROIX ROUSSE : Culturelles : Théatre : THEATRE DE LA CROIX ROUSSE : : On ne badine pas avec l’amour
Perdican, Camille, Rosette. On sait bien que le véritable amour ne connaît pas le chiffre trois... Le baron pensait pourtant maîtriser un heureux mariage en faisant coïncider le retour de son fils diplômé avec celui de sa cousine Camille : les deux anciens enfants, anciens amoureux, feraient aujourd’hui de parfaits jeunes amants. Mais Camille ne jure que par le couvent, piquant l’ego de son prétendant. Rosette devient alors ce ridicule objet dans la quête de séduction de l’orgueilleux Perdican. « La seule excuse des assassins, c’est leur jeunesse », souffle Philippe Faure...

Il ne faut jurer de rien...
On ne badine pas avec l’amour, « une tragédie, en somme, qui ne dit pas son nom, mais où l’amour est réellement saccagé »... Après Marivaux et son art ludique du discours amoureux, Philippe Faure se penche sur Musset, l’amoureux malheureux de George Sand, l’enfant du siècle : « Musset confondit toute sa vie le rêve et la réalité. Hyperémotif, il fut \\
24-01-2007 : Bérénice : Lyon
Rhône : Lyon : THEATRE DE LA CROIX ROUSSE : Culturelles : Théatre : THEATRE DE LA CROIX ROUSSE : : Bérénice
Un « one man show racinien »... y a de quoi rester bluffé. Qui serait assez fou pour tenter de tenir, à lui seul, tous les personnages d’une des tragédies les plus jouées de Jean Racine ? Jean-Marc Avocat, himself. Pari culotté, performance de comédien indéniable, pour nous dire toute sa passion pour cette langue et nous communiquer, à travers ces histoires là, un enthousiasme nouveau pour l’alexandrin ou, plus improbable, pour notre voisin de droite. Ah, l’amour...

Les histoires d’A. finissent (toujours) mal
À écouter Jean-Marc Avocat, fort de ses quarante ans de carrière - sur les planches comme à la télévision ou au cinéma - on se dit que la langue de Racine doit adoucir les moeurs. Le comédien-metteur en scène affirme utiliser ce « sommet de la langue française » presque comme un antidépresseur... Et c’est vrai qu’il y a de la magie dans ces vers, dans ce rythme implacable, dans ces destinées qui n’ont de cesse de tendre vers leur inéluctable fin. Bérénice, quinze-cent-six vers (tout rond), jouée en 1670, tragédie à trois voix : celle de Bérénice, reine de Palestine, sommée de retourner chez elle par l’homme qu’elle aime, Titus ; celle de Titus, empereur de Rome, qui sacrifie son amour aux exigences de la raison d’État ; celle d’Antiochus, ami de Titus, amoureux secret de Bérénice et condamné par elle au silence sous peine d’en être haï. Une poésie comme une plainte, à savourer cette fois dans l’homogénéité, la cohérence, d’une seule voix ? Celle d’un homme capable d’en rendre aussi tous les enjeux dramatiques ? Et pourquoi pas...
24-01-2007 : Pratique de Tango Argentin : Passy
Haute-Savoie : Passy : Select Bar Pmu : Danse : Pratique : Tango Duo : : Pratique de Tango Argentin

25-01-2007 : On ne badine pas avec l’amour : Lyon
Rhône : Lyon : THEATRE DE LA CROIX ROUSSE : Culturelles : Théatre : THEATRE DE LA CROIX ROUSSE : : On ne badine pas avec l’amour
Perdican, Camille, Rosette. On sait bien que le véritable amour ne connaît pas le chiffre trois... Le baron pensait pourtant maîtriser un heureux mariage en faisant coïncider le retour de son fils diplômé avec celui de sa cousine Camille : les deux anciens enfants, anciens amoureux, feraient aujourd’hui de parfaits jeunes amants. Mais Camille ne jure que par le couvent, piquant l’ego de son prétendant. Rosette devient alors ce ridicule objet dans la quête de séduction de l’orgueilleux Perdican. « La seule excuse des assassins, c’est leur jeunesse », souffle Philippe Faure...

Il ne faut jurer de rien...
On ne badine pas avec l’amour, « une tragédie, en somme, qui ne dit pas son nom, mais où l’amour est réellement saccagé »... Après Marivaux et son art ludique du discours amoureux, Philippe Faure se penche sur Musset, l’amoureux malheureux de George Sand, l’enfant du siècle : « Musset confondit toute sa vie le rêve et la réalité. Hyperémotif, il fut \\\\
25-01-2007 : Bérénice : Lyon
Rhône : Lyon : THEATRE DE LA CROIX ROUSSE : Culturelles : Théatre : THEATRE DE LA CROIX ROUSSE : : Bérénice
Un « one man show racinien »... y a de quoi rester bluffé. Qui serait assez fou pour tenter de tenir, à lui seul, tous les personnages d’une des tragédies les plus jouées de Jean Racine ? Jean-Marc Avocat, himself. Pari culotté, performance de comédien indéniable, pour nous dire toute sa passion pour cette langue et nous communiquer, à travers ces histoires là, un enthousiasme nouveau pour l’alexandrin ou, plus improbable, pour notre voisin de droite. Ah, l’amour...

Les histoires d’A. finissent (toujours) mal
À écouter Jean-Marc Avocat, fort de ses quarante ans de carrière - sur les planches comme à la télévision ou au cinéma - on se dit que la langue de Racine doit adoucir les moeurs. Le comédien-metteur en scène affirme utiliser ce « sommet de la langue française » presque comme un antidépresseur... Et c’est vrai qu’il y a de la magie dans ces vers, dans ce rythme implacable, dans ces destinées qui n’ont de cesse de tendre vers leur inéluctable fin. Bérénice, quinze-cent-six vers (tout rond), jouée en 1670, tragédie à trois voix : celle de Bérénice, reine de Palestine, sommée de retourner chez elle par l’homme qu’elle aime, Titus ; celle de Titus, empereur de Rome, qui sacrifie son amour aux exigences de la raison d’État ; celle d’Antiochus, ami de Titus, amoureux secret de Bérénice et condamné par elle au silence sous peine d’en être haï. Une poésie comme une plainte, à savourer cette fois dans l’homogénéité, la cohérence, d’une seule voix ? Celle d’un homme capable d’en rendre aussi tous les enjeux dramatiques ? Et pourquoi pas...
25-01-2007 : Thé dansant avec Bel Epok : EVIRES
Haute-Savoie : Évires : La guinguette des artistes : Danse : Thés dansants : La Guinguette des Artistes : Bel Epok : Thé dansant avec Bel Epok

25-01-2007 : La cité : Metz
Moselle : Metz : L ARSENAL DE METZ : Danse : Spectacles : L ARSENAL DE METZ : : La cité

25-01-2007 : Michel Boujenah : Annecy
Haute-Savoie : Annecy : Bonlieu : Culturelles : Humour : Bonlieu : : Michel Boujenah

26-01-2007 : Doux maux d’amour : Annemasse
Haute-Savoie : Annemasse : CHATEAU ROUGE : Culturelles : Théatre : CHATEAU ROUGE : : Doux maux d’amour
Doux maux d’amour
& maux-croisés
Théâtre des Marionnettes de Genève
Suite d’images silencieuses pour loupiotes et papier journal imaginées par Guy Jutard

:: Théâtre / Marionnettes
Neuf carrés lumineux, quatre manipulateurs, du papier journal qui tremble, tangue, se contracte, se déchire et d’où naissent des personnages minuscules ou géants.
Les petites histoires se succèdent en silence, sans paroles, à l’image d’une bande dessinée dont les bulles de texte seraient absentes. Petites histoires sans mots qui nous racontent des maux - petits et grands malheurs - reflets de notre mal de vivre, de notre difficulté à échapper au réel, à rencontrer l’autre, à aimer, à être aimé.
Ce spectacle constitue un retour sur l’essence de la marionnette où la forme prend tout son sens grâce au jeu des lumières rasantes. Il s’agit d’un exercice de grammaire de la manipulation qui confère à ces images leur allure conceptuelle : le mouvement crée le dynamisme fertile, comme la phrase permet aux mots de s’enchaîner pour fabriquer du sens.
L’absence de ces mots, de la musique, des rythmes est une règle contraignante qui permet de jouer une partition autour de la représentation visuelle de la parole, celle que l’on trouve sur les pages des journaux. Pages que l’on tourne sur une mauvaise nouvelle, sur l’annonce d’un départ. On passe des mots aux maux, à ces nouvelles lointaines dont on ne veut pas, à cette réalité que l’on travestit pour la rendre plus présentable. Le marionnettiste s’empare du journal et de son contenu pour raconter d’une autre façon les moments de la vie. Le froissement du papier chuchote un message cynique, tandis que le spectateur s’en délecte.
Avec
Nathalie Cuenet
Fatna Djahra
Daniel Hernandez
& Guy Jutard
26-01-2007 : La Cantatrice chauve : Cluses
Haute-Savoie : Cluses : Maison des Allobroges : Culturelles : Théatre : Allobroges Centre Culturel : : La Cantatrice chauve
Mise en scène : Arnaud Denis
Avec
Jean-Pierre Leroux, Florence Fontaine, Philippe Catoire, Caroline Clerc et Géraldine Azouelos

M. et Mme Smith reçoivent M. et Mme Martin au cours d’une très ordinaire soirée petite-bourgeoise dans les environs de Londres.
Légèrement troublée par l’agressivité de la bonne, les deux couples échangent des propos d’une banalité affligeante scandés par les coups de la pendule devenue folle. A trois reprises, on sonne à la porte sans que personne ne se présente. La quatrième fois, le capitaine des pompiers vient les rejoindre. Tous se lancent alors dans le récit d’anecdotes parfaitement insignifiantes jusqu’à ce que la bonne vienne y mettre son grain de sel.
Cette conversation sans queue ni tête passe par des phases d’agressivité latente pour s’achever dans les onomatopées et le non-sens.
Une pièce sur l’insignifiance et sur la superficialité des rapports humains.
26-01-2007 : On ne badine pas avec l’amour : Lyon
Rhône : Lyon : THEATRE DE LA CROIX ROUSSE : Culturelles : Théatre : THEATRE DE LA CROIX ROUSSE : : On ne badine pas avec l’amour
Perdican, Camille, Rosette. On sait bien que le véritable amour ne connaît pas le chiffre trois... Le baron pensait pourtant maîtriser un heureux mariage en faisant coïncider le retour de son fils diplômé avec celui de sa cousine Camille : les deux anciens enfants, anciens amoureux, feraient aujourd’hui de parfaits jeunes amants. Mais Camille ne jure que par le couvent, piquant l’ego de son prétendant. Rosette devient alors ce ridicule objet dans la quête de séduction de l’orgueilleux Perdican. « La seule excuse des assassins, c’est leur jeunesse », souffle Philippe Faure...

Il ne faut jurer de rien...
On ne badine pas avec l’amour, « une tragédie, en somme, qui ne dit pas son nom, mais où l’amour est réellement saccagé »... Après Marivaux et son art ludique du discours amoureux, Philippe Faure se penche sur Musset, l’amoureux malheureux de George Sand, l’enfant du siècle : « Musset confondit toute sa vie le rêve et la réalité. Hyperémotif, il fut \\\\\\\\\\\\\\\\
26-01-2007 : Bérénice : Lyon
Rhône : Lyon : THEATRE DE LA CROIX ROUSSE : Culturelles : Théatre : THEATRE DE LA CROIX ROUSSE : : Bérénice
Un « one man show racinien »... y a de quoi rester bluffé. Qui serait assez fou pour tenter de tenir, à lui seul, tous les personnages d’une des tragédies les plus jouées de Jean Racine ? Jean-Marc Avocat, himself. Pari culotté, performance de comédien indéniable, pour nous dire toute sa passion pour cette langue et nous communiquer, à travers ces histoires là, un enthousiasme nouveau pour l’alexandrin ou, plus improbable, pour notre voisin de droite. Ah, l’amour...

Les histoires d’A. finissent (toujours) mal
À écouter Jean-Marc Avocat, fort de ses quarante ans de carrière - sur les planches comme à la télévision ou au cinéma - on se dit que la langue de Racine doit adoucir les moeurs. Le comédien-metteur en scène affirme utiliser ce « sommet de la langue française » presque comme un antidépresseur... Et c’est vrai qu’il y a de la magie dans ces vers, dans ce rythme implacable, dans ces destinées qui n’ont de cesse de tendre vers leur inéluctable fin. Bérénice, quinze-cent-six vers (tout rond), jouée en 1670, tragédie à trois voix : celle de Bérénice, reine de Palestine, sommée de retourner chez elle par l’homme qu’elle aime, Titus ; celle de Titus, empereur de Rome, qui sacrifie son amour aux exigences de la raison d’État ; celle d’Antiochus, ami de Titus, amoureux secret de Bérénice et condamné par elle au silence sous peine d’en être haï. Une poésie comme une plainte, à savourer cette fois dans l’homogénéité, la cohérence, d’une seule voix ? Celle d’un homme capable d’en rendre aussi tous les enjeux dramatiques ? Et pourquoi pas...
26-01-2007 : Tra-la-la : Briare
Loiret : Briare : THEATRE DE L ESCABEAU : Culturelles : Théatre : Office de tourisme : : Tra-la-la

26-01-2007 : Jamait : Bourg-lès-Valence
Drôme : Bourg-lès-Valence : THEATRE LE RHONE : Culturelles : Théatre : Mairie : : Jamait

26-01-2007 : Marie et ses beaux courtois : Annonay
Ardèche : Annonay : LA PRESQU ILE : Musique : Concerts : Office du Tourisme : : Marie et ses beaux courtois

27-01-2007 : On ne badine pas avec l’amour : Lyon
Rhône : Lyon : THEATRE DE LA CROIX ROUSSE : Culturelles : Théatre : THEATRE DE LA CROIX ROUSSE : : On ne badine pas avec l’amour
Perdican, Camille, Rosette. On sait bien que le véritable amour ne connaît pas le chiffre trois... Le baron pensait pourtant maîtriser un heureux mariage en faisant coïncider le retour de son fils diplômé avec celui de sa cousine Camille : les deux anciens enfants, anciens amoureux, feraient aujourd’hui de parfaits jeunes amants. Mais Camille ne jure que par le couvent, piquant l’ego de son prétendant. Rosette devient alors ce ridicule objet dans la quête de séduction de l’orgueilleux Perdican. « La seule excuse des assassins, c’est leur jeunesse », souffle Philippe Faure...

Il ne faut jurer de rien...
On ne badine pas avec l’amour, « une tragédie, en somme, qui ne dit pas son nom, mais où l’amour est réellement saccagé »... Après Marivaux et son art ludique du discours amoureux, Philippe Faure se penche sur Musset, l’amoureux malheureux de George Sand, l’enfant du siècle : « Musset confondit toute sa vie le rêve et la réalité. Hyperémotif, il fut \\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\
27-01-2007 : Bérénice : Lyon
Rhône : Lyon : THEATRE DE LA CROIX ROUSSE : Culturelles : Théatre : THEATRE DE LA CROIX ROUSSE : : Bérénice
Un « one man show racinien »... y a de quoi rester bluffé. Qui serait assez fou pour tenter de tenir, à lui seul, tous les personnages d’une des tragédies les plus jouées de Jean Racine ? Jean-Marc Avocat, himself. Pari culotté, performance de comédien indéniable, pour nous dire toute sa passion pour cette langue et nous communiquer, à travers ces histoires là, un enthousiasme nouveau pour l’alexandrin ou, plus improbable, pour notre voisin de droite. Ah, l’amour...

Les histoires d’A. finissent (toujours) mal
À écouter Jean-Marc Avocat, fort de ses quarante ans de carrière - sur les planches comme à la télévision ou au cinéma - on se dit que la langue de Racine doit adoucir les moeurs. Le comédien-metteur en scène affirme utiliser ce « sommet de la langue française » presque comme un antidépresseur... Et c’est vrai qu’il y a de la magie dans ces vers, dans ce rythme implacable, dans ces destinées qui n’ont de cesse de tendre vers leur inéluctable fin. Bérénice, quinze-cent-six vers (tout rond), jouée en 1670, tragédie à trois voix : celle de Bérénice, reine de Palestine, sommée de retourner chez elle par l’homme qu’elle aime, Titus ; celle de Titus, empereur de Rome, qui sacrifie son amour aux exigences de la raison d’État ; celle d’Antiochus, ami de Titus, amoureux secret de Bérénice et condamné par elle au silence sous peine d’en être haï. Une poésie comme une plainte, à savourer cette fois dans l’homogénéité, la cohérence, d’une seule voix ? Celle d’un homme capable d’en rendre aussi tous les enjeux dramatiques ? Et pourquoi pas...


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